News 2017

DECEMBER 2017

  CHRONIQUE LES VESTIGES D'ALICE, SUR FUGUES

par Benoit Migneault



"Marc Kiska, fait preuve d’une écriture à la fois nerveuse, poétique et brutale qui conquiert rapidement le regard et l’attention du lecteur."


 


 

La chronique, c'est là :

FUGUES

DECEMBER 2017

  LES VESTIGES DE MARC KISKA, DES MOTS ET DES IMAGES

Une interview sur CULTURE GAY, par JIMMY SABATER



"Marc Kiska publie “Les Vestiges d’Alice”, un excellent premier roman, dont la qualité littéraire rejoint la qualité d’édition. Et si cet artiste est si impliqué dans l’objet autant que le contenu, c’est qu’il exprime son art sur de multiples supports. L’écriture et la photographie sont ses premières armes et il sait les utiliser avec talent."


L'interview, c'est là :

CULTURE GAY


NOVEMBER 2017

A portfolio of my work appears in the latest issue of CARPAZINE (n°14), an underground/graffiti/punkart magazine.


Carpazine Art Magazine Issue Number 14 Featuring Exclusive Interview with Spike Polite of Sewage.

More: Marc Kiska, Dion Hitchings, Andrew Stuart H, Kyle Confehr, Luis Martin, Robb Spath, Bam Bam Bam! Punk Rock Band from Ankara, New York City Graffiti, MF Gallery 15TH Annual Halloween Art Show and many more!!



CARPAZINE

OCTOBER 2017

The following are abstracts from the review Thierry Desaules did for French radio RBS of my novel "Les Vestiges d'Alice":


“To tell you that I loved this book would be a pure lie, to tell you that Kiska’s debut is a masterstroke would be what is true. In any case it is my truth."


"Throughout the 223 pages of his book, Marc Kiska takes us by the hand, a lot; shaking us, sometimes, slapping us, often, to lead us in the footsteps of a lost youth in perpetual questioning."


"Let's be clear, Marc Kiska writes with blood, spit and sperm, but where his talent lies is where he manages to make all this extremely poetic. One will be surprised when he makes the reader dream even in a dirty toilet, where he is able to see improbable and beautiful images (…) but yes, sometimes even a toilet bowl can be beautiful, almost mystical, believe me, but it takes talent and style to bring this to a reader. Mission successful for Mr. Kiska, and frankly, hats off!”



RADIO BIENVENUE STRASBOURG, Thierry Desaules

écouter la chronique



OCTOBER 2017

CHRONIQUES "LES VESTIGES D'ALICE"




"Soyons clairs, Marc Kiska écrit avec du sang, des crachats et du sperme, mais là où réside son talent c’est qu’il parvient à rendre tout cela extrêmement poétique. On se surprend même à autoriser l’auteur à nous faire rêver dans une cuvette de toilettes souillées tant il parvient à y voir des images improbables et belles. (...) mais oui il peut y avoir du beau, du presque mystique au fond des toilettes, croyez-moi, mais il faut du talent et du style pour amener ça à un lecteur. Mission réussie pour monsieur Kiska et là je dis franchement : chapeau bas !"



RADIO BIENVENUE STRASBOURG, Thierry Desaules

écouter la chronique






"Marc Kiska a écrit une histoire d'anges rebelles qui sent la sueur, le sperme, l'urine et le cacao. Son originalité est d'être un roman olfactif."



Fabienne Leloup

lire la chronique

LE MERCREDI 25 OCTOBRE 2017

    CHRONIQUE "LES VESTIGES D'ALICE"

par  Thierry  Desaules sur RBS 


Ce mercredi 25/10 à 17h00, THIERRY DESAULES vous parlera de mon premier roman  "Les Vestiges d'Alice" pour sa nouvelle chronique dans Le 16/18 - Radio Bienvenue Strasbourg, 91.9 FM.


Accès au direct ici :  RBS


 


LE VENDREDI 13 OCTOBRE 2017

    LES VESTIGES D'ALICE débarque en librairie


En ce vendredi 13 paraît mon premier roman Les Vestiges d'Alice aux éditions TABOU.


  BOOKALICIOUS, le média de la bonne littérature, en a fait la chronique dont vous trouverez les premières lignes ci-dessous.  Un grand merci à la journaliste Tara Lennart ! Je vous invite à vous rendre sur leur site pour lire la chronique,  retrouver  leur très bonnes critiques ainsi que leur passionnantes  émissions !


Le roman est dès à présent disponible soit en rayons, soit à la commande dans toutes les librairies et sur le site des éditions TABOU :

Henri, adolescent, songe à longueur de temps à un étrange concept : "On devient adulte lorsqu'on commence à boire du café". Critique de l'opposition entre le monde des enfants et celui des adultes symbolisée par le contraste doux-amer, Henri sera pris dans son tumulte jusqu'à l'explosion finale de l'histoire.

Dans ce roman aux contours trash et au style parfois très cru, Marc Kiska nous livre des jeunes gens tourmentés, emportés par l'ouragan de la liberté, de la violence et de la sexualité. Il nous emmène sur les traces d'une jeunesse en perpétuel questionnement : sur les Vestiges d'Alice. Comme elle, seront-ils sauter dans le terrier et rejoindre le pays des merveilles à l'encontre des adultes ayant oubliés de rêver ?

Tabou, éditeur sans interdit:

BD, guides et littérature engagée

"Alice et ses lapins ont bien changé. Son terrier et les pilules magiques aussi. Pour le lecteur, la pilule magique qui va l’emmener dans un monde étrange a la forme d’un livre. Un roman qui emporte  dans une tourmente urbaine où se mêlent amour, sentiments, violence, rébellion, quête d’humanité, de liberté et d’identité. Au centre de la violence sociale et policière, Henri, cet adolescent qui lutte contre le monde des adultes en refusant de laisser le café l’emporter sur le chocolat, refusant de laisser la société lui dicter son orientation sexuelle. Et puis il y a Gaël, Vincent, des jumeaux, Max, et leurs copains, qui cherchent leur place dans ce monde hostile et répressif, cherchent à vivre leur sexualité sans tabous ni jugements..."

Pour lire le reste de la chronique rendez-vous sur BOOKALICIOUS

DÉDICACE  "LES VESTIGES D'ALICE" et "OUTLANDISH / ROOM/"


Quelques photos de la dédicace du 06 octobre qui s'est déroulée à la librairie parisienne LES MOTS A LA BOUCHE.  Une très bonne librarie dont on se rappellera l'accueil chaleureux !


 

Librairie LES MOTS A LA BOUCHE

6 rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, 75004 Paris, France

OCTOBER 2017

 


EXHIBITION  "A LA TOMBEE DES MASQUES"



05 OCT - 15 NOV

Vernissage/Opening : 05 OCT, 18.00


 

Les Souffleurs

7, rue de la verrerie, 75004 Paris, France


"À la tombée des masques" is a retrospective of the theme of masks in my work, including my very latest pictures. Opening the 5th of October at 6 PM at Les Souffleurs, Paris.   The exhibition celebrates the launching of my novel "Les vestiges d'Alice" which I will be signing the following day at Les Mots à la Bouche 7 PM - 10 PM (event under).


Vernissage le 5 octobre à 18h00 d'une rétrospective de mon travail photographique autour des masques incluant certains de mes derniers travaux, qui déshabillera les mûrs des Souffleurs (jusqu'à fin novembre) pour célébrer la sortie le 13 octobre de mon premier roman "Les Vestiges d'Alice". Je signerais le roman le 06 octobre à la librairie Les Mots à la Bouche (voir ci-dessous).



 FACEBOOK EVENT

OCTOBER 2017

DÉDICACE  "LES VESTIGES D'ALICE" et "OUTLANDISH / ROOM/"



06  OCT   

19.00 - 22.00

 

Pot à 19 h/Welcome's drink at 7 PM


 

Librairie Les Mots à la Bouche

6 rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, 75004 Paris, France


I will be at the bookshop "Les Mots à la Bouche", Paris, Friday the 6th of October, to sign my novel "Les Vestiges d'Alice" (to be published by Tabou Edition the 13th of october), and the second edition of my book of art photography "Outlandish /Room/".


Je serais à la librairie "Les Mots à la Bouche" le vendredi 06 octobre à partir de 19 h pour dédicacer mon roman "Les Vestiges d'Alice" à paraître aux éditions Tabou le 13 octobre, et la seconde édition de mon livre de photos "Outlandish/Room/".



 FACEBOOK EVENT

SEPTEMBER 2017

 

By the end of the month my  novel Les Vestiges d'Alice  will be published by TABOU editions in France. I will launch the book in the beginning of october in the bookstore Les Mots à la bouche in Paris. I will also be  exhibiting a selection of my photos at the bar Les Souffleurs. More info to come.


The cover photo of my novel is one of my latest  work from my serie D-Programmed.



D'ici la fin du mois  mon roman Les Vestiges d'Alice paraîtra  aux éditions TABOU, en France. Pour marquer l'évènement je serais à Paris au début du mois d'octobre. Une dédicace aura lieu  à la librairie Les Mots à la bouche et j'exposerais une sélection de mes photos au bar Les Souffleurs. Infos à venir.

La photo de couverture du roman est une de mes dernières photos, elle fait partie de ma série D-Programmed.


 

Henri, adolescent, songe à longueur de temps à un étrange concept : "On devient adulte lorsqu'on commence à boire du café". Critique de l'opposition entre le monde des enfants et celui des adultes symbolisée par le contraste doux-amer, Henri sera pris dans son tumulte jusqu'à l'explosion finale de l'histoire.

Dans ce roman aux contours trash et au style parfois très cru, Marc Kiska nous livre des jeunes gens tourmentés, emportés par l'ouragan de la liberté, de la violence et de la sexualité. Il nous emmène sur les traces d'une jeunesse en perpétuel questionnement : sur les Vestiges d'Alice. Comme elle, seront-ils sauter dans le terrier et rejoindre le pays des merveilles à l'encontre des adultes ayant oubliés de rêver ?



Né en 1983, Marc KISKA a grandi près de Saint-Etienne et vit en Norvège. Il écrit ses premières nouvelles sur les chaises d’écoles. Au fil des années, elles paraîtront dans diverses revues alternatives et contre-culturelles. À l’âge de 20 ans, en cherchant à illustrer ses écrits, il se tourne vers la photographie et en fera son métier. Son sujet de prédilection, tant dans son travail photographique que littéraire ? L’adolescence, sa quête de liberté et d’authenticité, et le fracas contre la pression du conformisme. Marc Kiska publie à présent Les Vestiges d’Alice, son premier roman qui vient compléter ses publications photographiques dans la presse internationale et un premier recueil de photographies : Outlandish /ROOM/ (ed. The Black Fawn, 2014).


AUGUST 2017

SUMMER 2017

 

A portfolio of my photos appears in the summer issue of Noisy Rain. You can find it online there :


NOISY RAIN

JUNE 2017

My Last photo Pedagogy.

I m exhibiting it at the city hall of Oslo during Oslo Pride !



Model : Sebastian Johansen

Make-up : Eowyn Ruud-Olsen

JUNE 2017

 

I m exhibiting my sculpture  at the city hall of Oslo during Oslo Pride !



 

"Marc Kiska formidler at selv om man er låst inne i et bur, betyr ikke det at ikke noe vakkert kan vokse fram."


GAYSIR

Photo: Hanne Bernhardsen Nordvåg.

JUNE 2017

 

I will present at least 4 photos and a sculpture at this year's pride exhibition with Skeive Kunstnere. It will take place at the main city hall of Oslo, 25/06 - 02/07, with a massive opening on sunday (25/06), from 2 PM to 9 PM.


Facebook event

MAY 2017

 

Working on a crown of "thornes".

 

Set from my last shooting.

APRIL 2017

 

Last month I discovered the work of Victor Brunstein Weinsanto, a young french fashion designer based in Paris.

I asked him if I could  combine his design with my art to make a series of photos. I called it D-programmed. My idea was to counteract adulthood/education. Grey walls and books are covered with paint flowing and the model  is acting around a tire swing. D-programmed is also playing on identity and gender.


MODEL

Arthur R., Team Models


ASSISTANT

Hilde Borgund


CLOTHES

Victor Brunstein Weinsanto, from the collection Psychedelic Freaks

Underwears : Versace Eros and HOM

Shoes : Doc Marteens originals 1490

D-Programmed, sample

MARS 2017

 

Sets from my last shootings.

FEBRUARY 2017

Programmed II

FEBRUARY 2017

"Diagnostiqué séropositif en 1989, Marc Barthel ne survécut pas longtemps à cette annonce puisqu’il s’est éteint le 19 octobre 1991, quelque deux ans plus tard. Artiste présent sur les scènes émergentes françaises, il s’était attelé à la rédaction d’un journal, de textes poétiques et à la création de nombreuses œuvres graphiques.


Vingt-cinq ans plus tard, Jacky Ferjault et Emmanuel Thibault se sont attelés à la tâche monumentale de rendre justice à l’artiste en l’inscrivant au cœur d’un parcours initiatique où s’enchâssent non seulement les textes et les œuvres graphiques de celui-ci, mais également leurs siennes propres.  Une vision troublante et brutale s’en dégage, symptomatique d’une période où l’espoir était souvent perçu comme délétère et sans appel. « Ce soir encore, je me déshabillerai en tremblant, / Je me convaincrai que je ne suis pas seul, / J’y croirai presque, je ferai semblant, / Je me mettrai à nu, du côté de mes rêves. / Alors viendra un homme, du velours dans le regard, / Du soleil dans le sourire, tout permis dans ses gestes. / Et mon corps se souviendra de sa gloire ternie / Et moi je saurai que tout n’est pas fini."



FUGUES, Benoit Migneault

voir l'article ICI

"Voilà donc « Je ne veux plus cacher mes larmes », un album de poésie d’une trempe bouleversante, sorti à titre posthume aux bons soins de Jacky Ferjault et Emmanuel Thibault des carnets de feu Marc Barthel, mort du sida en 1991. L’écriture y est ressentie comme un besoin impérieux, un exutoire capital. Tous les textes de ce recueil élaboré sur le vif disent les périodes où les hurlements d’une sensibilité déchirée cherchent à unir la vie et la mort. Ce sont des instantanés à peine retravaillés qui renferment la crue vérité d’un moment de lutte, d’un temps de questionnement, d’une étendue de vie, aux moyens de la chair, de l’intelligence et du cœur.

Marc Barthel nous y convoque, en d’éclatants chants de cygne, à ses rêves, ses faiblesses, ses doutes, ses vaillances, les détails de ses pensées quotidiennes, son destin tout court qui est essentiellement celui de nous tous. Artiste dans l’âme, même pris aux affres de la maladie, Marc a été jusqu’au bout du chemin à la quête du Beau. En cela notamment, ces poèmes sont loin d’être des marches funèbres. Ce sont ses ultimes victoires, des odes sincères à la vie, qui ont empêché la lampe de trop vite s’éteindre, le champ de devenir stérile. Dans ce livre, le verbe et la chair s’arrachent l’un à l’autre. Car le corps meurtri n’a plus de langage, il ne peut que crier, que s’auto-détruire. Il n’a pas prise sur les mots comme autant de baumes qu’on lui tend, le code de ses gestes connus étant perdu. Mais se forge sur les débris de la fracture du corps une langue nouvelle où le mot « mort » ne veut plus dire « fin »….

Merci à Jacky Ferjault et Emmanuel Thibault, fins passeurs de cette étoile dans nos mémoires. "



Karim Deya, Abidjan, Côte d'Ivoire

JE NE VEUX PLUS CACHER MES LARMES est disponible ICI, et dans les librairies suivantes :


Les Mots a la Bouche, Paris 4e

Fahrenheit 451, Geneve

L'ivresse, Geneve

JANUARY 2017

Two of my illustrations appears in the latest MELK magazine, a queer cultural magazine with special focus on marginalised queer perspectives. I am proud to participate in their work, which I believe is important, to challenge the monopoly and the lack of diversity that characterise the gay community in Norway, when it comes to both the cultural scene, media, organisations etc. Support Melk !


www.melkmag.com

 

JANUARY 2017

Working on a new set.